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2011年8月28日星期日

Wu-Tang Clan - Legendary Weapons

http://47.img.v4.skyrock.net/479/donsameleone/pics/3015564845_1_3_eyDGaIAj.jpg

http://www.wutang-corp.com

http://www.myspace.com/wutang

Origine du Groupe : North America

Style : Hip Hop

Sortie : 2011




Par  Lebowski pour http://www.dmute.net



La surprise hip-hop 2011 vient des old-timer du Wu-Tang Clan. Tout arrive.



Legendary Weapons donc. Est-ce véritablement un disque ou une simple superposition de titres enregistrés à droite à gauche, sans réelle cohérence ? Car si la forme et le manque de promotion y
est, ce disque, à la pochette sentant bon le montage photoshop à trois sous, n'a rien d'une fructueuse compilation.



Sortit sur l'ancien Koch Records, aujourd'hui E1 Music, (label important du Wu-Tang post-97 sur lequel sont sortis les Digital Bullet, The Movement, Digi Snacks), malgré l'absence de Masta Killa
et GZA, et des interventions au compte-gouttes des membres originaux, Legendary Weapons n'est pas loin de s'imposer comme un album de groupe à part entière. D'une, parce que la qualité est
indéniable, et deux, parce que ce fameux retour aux sources que prône RZA fonctionne à merveille.



Comme pour Chamber Music (2009, même label, quelques bons titres mais essentiellement de l'interlude et du tout-venant), RZA se pose en producteur exécutif, supervisant les nouvelles têtes
gravitant autour de la nébuleuse W, à savoir les New-yorkais Noah Rubin et Andrew Kelley, ainsi que le batteur d'origine lituanienne Gintas Janusonis (on peut ajouter le bassiste Josh Werner, non
présent ici mais ayant plusieurs collaborations récentes avec RZA depuis quelques temps). Loin du format type du producteur de hip-hop, ce sont ces petits blancs d'une trentaine d'années,
représentatifs de la grande majorité de ce qu'est le public du Wu-Tang dans sa globalité, qui ont eu les faveurs du maître pour faire revivre le son si particulier de la Shaolin Island. Des fans
de la première heure, certainement nostalgiques de l'âge d'or 93-97. Sans oublier Fizzy Womack, dit Lil Fame de M.O.P., lui aussi, déjà présent il y a deux ans pour Chamber Music, ainsi que
l'apport non négligeable de The Revelations (Bob Perry et Tre Williams), autre présence récurrente désormais chez RZA.



Ressort ici l'âme du Wu, que l'on avait perdue ces dernières années, si ce n'est entrevue avec les trop rares nitescences type No Said Date en 2004 ou le pourtant décrié mais excellent 8 Diagrams
en 2007. Le Wu-Tang Clan est, que l'on veuille ou non, une institution, un collectif sans précédent dans l'histoire du hip-hop. Le respect de la tradition est garant de la réussite à travers les
âges, au même titre que les Bayern Munich, Manchester United ou FC Barcelone, pour une comparaison footballistique on ne peut plus claire. Le WTC United ? Sans pouvoir être assimilé aux
différents albums marquants réalisés, notamment en terme d'ambiance, Legendary Weapons n'a rien de l'album bâtard. Sombre, en rien « tub-uesque », sans fulgurances, mais avec une constance dans
la qualité des beats, des raps, dans le tissage d'une ambiance chère à l'esprit Wu-Tang que RZA qualifie de « throw-back sound […] inspired by classic soul and kung-fu imagery) ».



Pour les MCs, des confirmations : Ghostface Killah, rappeur le plus en vue du disque (présent sur 4 titres), est insensible au poids des années. Killa Sin (de Killarmy), en dépit d'une carrière
gérée n'importe comment, est l'un des plus gros gâchis de la « Wu-Fam ». Trife Diesel, le protégé de Ghostface, n'a aucun charisme. U-God résume sur ses deux couplets l'ensemble de sa carrière:
on/off. Pour les invités, joli touché que d'avoir pensé à Roc Marciano, auteur l'année passée d'un excellent Marcberg. Sean Price, si ça avait besoin d'être rappelé, ne sert toujours à rien. Et
Cappadonna, bien que sympathique, a toujours du mal.



Sans grande difficulté, Legendary Weapons s'impose comme le meilleur disque labellisé Wu-Tang depuis 8 Diagrams. Une pensée pour Pro-Tools, le (pour le coup) faux-album solo de GZA.



Tracklist :

1. Start the Show (feat. Raekwon and RZA)

2. Laced Cheeba (feat. Ghostface, Sean Price and Trife Diesel)

3. Diesel Fluid (feat. Method Man, Trife Diesel and Cappadonna)

4. Played By The Game

5. The Black Diamonds (feat. Ghostface, Roc Marciano and Killa Sin)

6. Legendary Weapons (Ghostface, AZ and M.O.P.)

7. Never Feel This Pain (feat. Inspectah Deck, U-God and Tre Williams)

8. Angels Got Wings

9. Drunk Tongue (feat. Killa Sin)

10. 225 Rounds (feat. U-God, Cappadonna, Bronze Nazareth and RZA)

11. Meteor Hammer (feat. Ghostface, Action Bronson and Termanology)

12. Live Through Death

13. Only the Rugged Survive (feat. RZA)

14. Outro

mp3

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Low Fidelity Jet Set Orchestra - Studio Works

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtTF8UMp09rmlFv1gMRZ1mpJ_VQxAXAUOoOgliqDSkPNxvILpC6Fu-xZEHQ87HCPuDa1YZ7G3mw1jEmYayKkiVtmVxnxfoSSFTm4HqU3pYJJkzZ-FoRXGac5K1sRbJcTJoHi1gKTtC-SsD/s1600/Low+Fidelity+Jet+Set+Orchestra+-+Studio+Works.jpg

http://www.myspace.com/lowfidelityjetsetorchestra

Origine du Groupe : Italia

Style : Acid jazz , Nu-Jazz , Lo-Fi

Sortie : 2009




From http://www.discovery-records.com



Low Fidelity Jet-Set Orchestra is a spin-off from Modulo 5, also on Irma.



This album is a fusion of Nu-Jazz and Electronica, bearing something of a cinematic style.



Tracklist :

01. Groovy Motion

02. The Original Sound

03. Value For Money

04. Sounds idea

05. Four-Channel Sound

06. The Broadcast Signal

07. The Project - Part 1

08. The Project - Part 2

09. The Amplifier

10. Watts & Impedence

11. Ground Noise

12. Pitch Control

mp3

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Wu-Tang Clan - Legendary Weapons

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http://www.wutang-corp.com

http://www.myspace.com/wutang

Origine du Groupe : North America

Style : Hip Hop

Sortie : 2011




Par  Lebowski pour http://www.dmute.net



La surprise hip-hop 2011 vient des old-timer du Wu-Tang Clan. Tout arrive.



Legendary Weapons donc. Est-ce véritablement un disque ou une simple superposition de titres enregistrés à droite à gauche, sans réelle cohérence ? Car si la forme et le manque de promotion y
est, ce disque, à la pochette sentant bon le montage photoshop à trois sous, n'a rien d'une fructueuse compilation.



Sortit sur l'ancien Koch Records, aujourd'hui E1 Music, (label important du Wu-Tang post-97 sur lequel sont sortis les Digital Bullet, The Movement, Digi Snacks), malgré l'absence de Masta Killa
et GZA, et des interventions au compte-gouttes des membres originaux, Legendary Weapons n'est pas loin de s'imposer comme un album de groupe à part entière. D'une, parce que la qualité est
indéniable, et deux, parce que ce fameux retour aux sources que prône RZA fonctionne à merveille.



Comme pour Chamber Music (2009, même label, quelques bons titres mais essentiellement de l'interlude et du tout-venant), RZA se pose en producteur exécutif, supervisant les nouvelles têtes
gravitant autour de la nébuleuse W, à savoir les New-yorkais Noah Rubin et Andrew Kelley, ainsi que le batteur d'origine lituanienne Gintas Janusonis (on peut ajouter le bassiste Josh Werner, non
présent ici mais ayant plusieurs collaborations récentes avec RZA depuis quelques temps). Loin du format type du producteur de hip-hop, ce sont ces petits blancs d'une trentaine d'années,
représentatifs de la grande majorité de ce qu'est le public du Wu-Tang dans sa globalité, qui ont eu les faveurs du maître pour faire revivre le son si particulier de la Shaolin Island. Des fans
de la première heure, certainement nostalgiques de l'âge d'or 93-97. Sans oublier Fizzy Womack, dit Lil Fame de M.O.P., lui aussi, déjà présent il y a deux ans pour Chamber Music, ainsi que
l'apport non négligeable de The Revelations (Bob Perry et Tre Williams), autre présence récurrente désormais chez RZA.



Ressort ici l'âme du Wu, que l'on avait perdue ces dernières années, si ce n'est entrevue avec les trop rares nitescences type No Said Date en 2004 ou le pourtant décrié mais excellent 8 Diagrams
en 2007. Le Wu-Tang Clan est, que l'on veuille ou non, une institution, un collectif sans précédent dans l'histoire du hip-hop. Le respect de la tradition est garant de la réussite à travers les
âges, au même titre que les Bayern Munich, Manchester United ou FC Barcelone, pour une comparaison footballistique on ne peut plus claire. Le WTC United ? Sans pouvoir être assimilé aux
différents albums marquants réalisés, notamment en terme d'ambiance, Legendary Weapons n'a rien de l'album bâtard. Sombre, en rien « tub-uesque », sans fulgurances, mais avec une constance dans
la qualité des beats, des raps, dans le tissage d'une ambiance chère à l'esprit Wu-Tang que RZA qualifie de « throw-back sound […] inspired by classic soul and kung-fu imagery) ».



Pour les MCs, des confirmations : Ghostface Killah, rappeur le plus en vue du disque (présent sur 4 titres), est insensible au poids des années. Killa Sin (de Killarmy), en dépit d'une carrière
gérée n'importe comment, est l'un des plus gros gâchis de la « Wu-Fam ». Trife Diesel, le protégé de Ghostface, n'a aucun charisme. U-God résume sur ses deux couplets l'ensemble de sa carrière:
on/off. Pour les invités, joli touché que d'avoir pensé à Roc Marciano, auteur l'année passée d'un excellent Marcberg. Sean Price, si ça avait besoin d'être rappelé, ne sert toujours à rien. Et
Cappadonna, bien que sympathique, a toujours du mal.



Sans grande difficulté, Legendary Weapons s'impose comme le meilleur disque labellisé Wu-Tang depuis 8 Diagrams. Une pensée pour Pro-Tools, le (pour le coup) faux-album solo de GZA.



Tracklist :

1. Start the Show (feat. Raekwon and RZA)

2. Laced Cheeba (feat. Ghostface, Sean Price and Trife Diesel)

3. Diesel Fluid (feat. Method Man, Trife Diesel and Cappadonna)

4. Played By The Game

5. The Black Diamonds (feat. Ghostface, Roc Marciano and Killa Sin)

6. Legendary Weapons (Ghostface, AZ and M.O.P.)

7. Never Feel This Pain (feat. Inspectah Deck, U-God and Tre Williams)

8. Angels Got Wings

9. Drunk Tongue (feat. Killa Sin)

10. 225 Rounds (feat. U-God, Cappadonna, Bronze Nazareth and RZA)

11. Meteor Hammer (feat. Ghostface, Action Bronson and Termanology)

12. Live Through Death

13. Only the Rugged Survive (feat. RZA)

14. Outro

mp3

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Low Fidelity Jet Set Orchestra - Studio Works

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtTF8UMp09rmlFv1gMRZ1mpJ_VQxAXAUOoOgliqDSkPNxvILpC6Fu-xZEHQ87HCPuDa1YZ7G3mw1jEmYayKkiVtmVxnxfoSSFTm4HqU3pYJJkzZ-FoRXGac5K1sRbJcTJoHi1gKTtC-SsD/s1600/Low+Fidelity+Jet+Set+Orchestra+-+Studio+Works.jpg

http://www.myspace.com/lowfidelityjetsetorchestra

Origine du Groupe : Italia

Style : Acid jazz , Nu-Jazz , Lo-Fi

Sortie : 2009




From http://www.discovery-records.com



Low Fidelity Jet-Set Orchestra is a spin-off from Modulo 5, also on Irma.



This album is a fusion of Nu-Jazz and Electronica, bearing something of a cinematic style.



Tracklist :

01. Groovy Motion

02. The Original Sound

03. Value For Money

04. Sounds idea

05. Four-Channel Sound

06. The Broadcast Signal

07. The Project - Part 1

08. The Project - Part 2

09. The Amplifier

10. Watts & Impedence

11. Ground Noise

12. Pitch Control

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Getatchew Mekuria & The Ex - Live At The Rio Loco (Toulouse/France) (Full Concert)

http://download.liveweb.arte.tv/o21/liveweb/media/event/2369/2369-visual-crop-small.jpg

http://www.theex.nl

http://www.myspace.com/theexnl

Origine du Groupe : Nerderlands , Ethiopia

Style : Alternative , Jazz Rock Punk , Jazz World , Experimental

Sortie : 2011

Durée : 89min

 





Par http://www.toulouseblog.fr


Quel est le point commun entre un groupe anarcho-punk hollandais et un saxophoniste éthiopien

professeur à l’Orchestre de la Police d’Addis Abeba ? La musique bien sûr ! Impressionné par

la réédition dans la collection Ethiopiques de l’album mythique de Gétatchèw Mékuria, Negus

of Ethiopian Sax (1972), le groupe The Ex a convié en 2006 le saxophoniste à fêter ses 25

ans d’existence à Amsterdam… The Ex, après ses débuts punk en 1979, avait déjà tenté de

multiples expériences avant-gardistes avec des groupes très éloignés de la sphère rock, venus

de Turquie, Hongrie, du Congo, d’Erythrée ou d’Ethiopie.

Pour sa part, Gétatchèw Mékuria est l’une des stars du Swinging Addis, l’âge d’or de la soul-jazz

éthiopienne. Lui qui n’avait jamais quitté son pays, il s’est régénéré au contact des Hollandais et a suivi The Ex en tournée en France, laquelle est notamment passée par le festival Banlieues
Bleues en 2006. Comédien au début de sa carrière, Gétatchèw Mékuria s’est fait le dépositaire du « shellele », un genre traditionnel vocal entonné par les combattants avant de partir au combat.
Il en transpose l’exubérance déclamatoire au saxophone… En 1947, il démarre sa carrière professionnelle au Municipality Band d’Addis Abeba, avant de rejoindre en 1965 le fameux Police Orchestra,
une véritable institution musicale en Ethiopie. L’empereur Hailé Sélassié fait alors des fanfares une fierté nationale et les nuits d’Addis Abeba sont réputées comme les plus incandescentes du
continent… Les jazzmen américains n’avaient pas encore inventé le free-jazz que Gétatchèw Mèkuria en avait déjà lancé les prémices en Afrique !

En tournée entre 2006 et 2008, le Négus du saxophone éthiopien a choisi The Ex pour l’accompagner en Europe et aux Etats-Unis. Ils ont enregistré ensemble deux albums, Moa Anbessa, avec
différents invités et un DVD live, publié chez Buda Musique en 2007. Leur rencontre donne naissance à un jazz-rock hypnotique, à découvrir absolument sur la scène de la Prairie des Filtres
! 



hd dvd rw

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Getatchew Mekuria & The Ex - Live At The Rio Loco (Toulouse/France) (Full Concert)

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http://www.theex.nl

http://www.myspace.com/theexnl

Origine du Groupe : Nerderlands , Ethiopia

Style : Alternative , Jazz Rock Punk , Jazz World , Experimental

Sortie : 2011

Durée : 89min

 





Par http://www.toulouseblog.fr


Quel est le point commun entre un groupe anarcho-punk hollandais et un saxophoniste éthiopien

professeur à l’Orchestre de la Police d’Addis Abeba ? La musique bien sûr ! Impressionné par

la réédition dans la collection Ethiopiques de l’album mythique de Gétatchèw Mékuria, Negus

of Ethiopian Sax (1972), le groupe The Ex a convié en 2006 le saxophoniste à fêter ses 25

ans d’existence à Amsterdam… The Ex, après ses débuts punk en 1979, avait déjà tenté de

multiples expériences avant-gardistes avec des groupes très éloignés de la sphère rock, venus

de Turquie, Hongrie, du Congo, d’Erythrée ou d’Ethiopie.

Pour sa part, Gétatchèw Mékuria est l’une des stars du Swinging Addis, l’âge d’or de la soul-jazz

éthiopienne. Lui qui n’avait jamais quitté son pays, il s’est régénéré au contact des Hollandais et a suivi The Ex en tournée en France, laquelle est notamment passée par le festival Banlieues
Bleues en 2006. Comédien au début de sa carrière, Gétatchèw Mékuria s’est fait le dépositaire du « shellele », un genre traditionnel vocal entonné par les combattants avant de partir au combat.
Il en transpose l’exubérance déclamatoire au saxophone… En 1947, il démarre sa carrière professionnelle au Municipality Band d’Addis Abeba, avant de rejoindre en 1965 le fameux Police Orchestra,
une véritable institution musicale en Ethiopie. L’empereur Hailé Sélassié fait alors des fanfares une fierté nationale et les nuits d’Addis Abeba sont réputées comme les plus incandescentes du
continent… Les jazzmen américains n’avaient pas encore inventé le free-jazz que Gétatchèw Mèkuria en avait déjà lancé les prémices en Afrique !

En tournée entre 2006 et 2008, le Négus du saxophone éthiopien a choisi The Ex pour l’accompagner en Europe et aux Etats-Unis. Ils ont enregistré ensemble deux albums, Moa Anbessa, avec
différents invités et un DVD live, publié chez Buda Musique en 2007. Leur rencontre donne naissance à un jazz-rock hypnotique, à découvrir absolument sur la scène de la Prairie des Filtres
! 



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Eric Lau - Makin' Sound

http://f.bandcamp.com/z/28/58/2858732021-1.jpg

http://www.ericlaumusic.com

Origine du Groupe : U.K

Style : Abstract Hip Hop

Sortie : 2010


By jeej from http://www.juslikemusic.com



Jus Like Music favourite and soulful production extraordinaire, Eric Lau, is back with an instrumental long player on Kilawatt Music called Makin’ Sound. At just shy of 45 minutes long, this
collection of 20 songs at first appears like a sort of sophisticated beat-tape, but albeit understated, Makin’ Sound is actually a lot deeper than that. Plus, it’s available to buy right now via
Bandcamp both digitally and on vinyl (strictly only 500 copies available!).



London based Eric Lau has been on my radar since he dropped I’m Fine (featuring Rahel) back in 2006 as part of Gilles Peterson’s Brownswood Bubblers series. Since then it’s been up and up for the
talented young man. Producing an EP on Fat City with Dudley Perkins et al, plus his own debut album (New Territories) a couple of years ago on Ubiquity, and with a host of other high profile
production credits – Eric Lau’s CV is rich indeed. Makin’ Sound sees Eric return to previously unreleased work that lacks the aid of vocal contributions, just a producer at his most exposed. And
the outcome is solid.



Most of the tracks are less than three minutes long – about half are less than two minutes long – but combined they make up a rich tapestry of beautiful downtempo hip-hop sounds. Exquisitely
produced beats with tight instrumentation are present throughout. The levels on the respective sounds, and their consequent spatial placement, are in perfect balance – although, it’s probably
worth mentioning that Eric had the assistance of, J Dilla and Pete Rock mastering engineer, Shawn Joseph on the final masters. In which case… what a match made in heaven it is between Shawn and
Eric! The longest track on the album is Cruise Control, which is actually available for free download via Bandcamp at the moment.



This is the sort of release that can sit in the background and create an atmosphere, yet also be cranked and appreciated by purists and beat-heads alike. I’ve genuinely not got a bad word to say
about the release. As Eric mentions in the above video, he’s putting to bed some unfinished business with Makin’ Sound, with a view to moving to the next stage of his musical journey. Naturally,
I’m intrigued to hear what he has up his sleeve with regards to new work, but this latest release will be on rotation at JLM HQ for some time to come.



If you’re looking for an instrumental hip-hop tip with tinges of A Tribe Called Quest, Erykah Badu, Mos Def, J Dilla, Slum Village, then you wont be disappointed. But, rather, you’ll be
refreshingly surprised as Eric Lau comes correct with his own unique style and methods. Yet again Eric manages to create music that has sincerity woven into it, with something so organic and
honest about it. It’s pretty rare to find hard hitting, laid back tracks with such pure instrumentation and structure, so you better savour it!

 






Tracklist :

01. What The World Should Be

02. Cruise control

03. Some Time

04. What's Going Down

05. Lil' Chop

06. Home Run

07. Ppg

08. Warp

09. Bendy

10. Dreamsville

11. Change

12. Give Light, Give Love

13. Militant

14. Minnie

15. Love, love, love

16. Watcha doin

17. Noma (Feat. Ben Hadwen)

18. The Bed

19. Nadir

20. Stand bye

mp3

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Daipivo - Reggae engatsé

http://ecx.images-amazon.com/images/I/41QWHM9ZMGL._SL500_AA240_.jpg

http://reggae.engatse.online.fr

Origine du Groupe : France

Style : Reggae

Sortie : 1998




Site Officiel :



"DAÏPIVO" remplit de nombreuses salles durant la tournée de 1997, et prépare en même temps la sortie d'un deuxième album. Celui-ci sortira en 1998 et sera intitulé "Reggae Engatsé". Ce titre
correspond bien à la musique qu'il représente "Reggae Engagé, Enervé"... Cet album sera lui aussi autoproduit par le groupe... Scalen Distribution les découvre et signe la même année. Restant
prudent au départ avec ce groupe « méconnu » et ne distribuant que le deuxième album, Scalen s'aperçoit très rapidement du potentiel du groupe et de la demande en magasin. Il décide alors de
mettre en bac le premier album "Back to The Roots" qu'il jugeait au départ trop "local" et double alors les ventes. Le groupe s'impose alors dans le monde du reggae français avec plus de 10 000
disques vendus sans autres support promotionnel que leurs propres concerts... Plus tard, des articles de presses et interviews sont réalisés spontanément par des médias tels que Groove magazine,
Surf session, Lylo, Tendances positives, Presse Locale, Envoyé Spécial (France 2) , France 3, MCM, Radio Nova, Radio Golfe d'Amour, RCFM (Corse), Radio Grenouille, Radio Galère, etc... Le groupe
a aussi réussi à surmonter de nombreuses difficultés liées à ce "métier", leur passion pour la musique passant en priorité… Pendant ces années "galères", la totalité de leurs gains est réinvestie
: achat de matériels, instruments de musique, ainsi que tout ce qui concerne l'enregistrement des albums.

 






Tracklist :

01 - Clicasse

02 - Roots marseillais

03 - Euh'l'rapeul'

04 - La mort en vente

05 - Salska

06 - J.T agité

07 - Boom Boom Festival

08 - Les boues rouges

09 - Reggae engatsé

10 - Le temps des seigneurs

11 - Clicasse

12 - Etat d'urgence

13 - Le fric

14 - Fire / Dub P13

15 - La mort en vente (dub)

16 - Etat d'urgence (dub)

17 - Le temps des seigneurs (dub)

18 - J.T. agité (dub)

19 - Roots marseillais (dub)

mp3

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Eric Lau - Makin' Sound

http://f.bandcamp.com/z/28/58/2858732021-1.jpg

http://www.ericlaumusic.com

Origine du Groupe : U.K

Style : Abstract Hip Hop

Sortie : 2010


By jeej from http://www.juslikemusic.com



Jus Like Music favourite and soulful production extraordinaire, Eric Lau, is back with an instrumental long player on Kilawatt Music called Makin’ Sound. At just shy of 45 minutes long, this
collection of 20 songs at first appears like a sort of sophisticated beat-tape, but albeit understated, Makin’ Sound is actually a lot deeper than that. Plus, it’s available to buy right now via
Bandcamp both digitally and on vinyl (strictly only 500 copies available!).



London based Eric Lau has been on my radar since he dropped I’m Fine (featuring Rahel) back in 2006 as part of Gilles Peterson’s Brownswood Bubblers series. Since then it’s been up and up for the
talented young man. Producing an EP on Fat City with Dudley Perkins et al, plus his own debut album (New Territories) a couple of years ago on Ubiquity, and with a host of other high profile
production credits – Eric Lau’s CV is rich indeed. Makin’ Sound sees Eric return to previously unreleased work that lacks the aid of vocal contributions, just a producer at his most exposed. And
the outcome is solid.



Most of the tracks are less than three minutes long – about half are less than two minutes long – but combined they make up a rich tapestry of beautiful downtempo hip-hop sounds. Exquisitely
produced beats with tight instrumentation are present throughout. The levels on the respective sounds, and their consequent spatial placement, are in perfect balance – although, it’s probably
worth mentioning that Eric had the assistance of, J Dilla and Pete Rock mastering engineer, Shawn Joseph on the final masters. In which case… what a match made in heaven it is between Shawn and
Eric! The longest track on the album is Cruise Control, which is actually available for free download via Bandcamp at the moment.



This is the sort of release that can sit in the background and create an atmosphere, yet also be cranked and appreciated by purists and beat-heads alike. I’ve genuinely not got a bad word to say
about the release. As Eric mentions in the above video, he’s putting to bed some unfinished business with Makin’ Sound, with a view to moving to the next stage of his musical journey. Naturally,
I’m intrigued to hear what he has up his sleeve with regards to new work, but this latest release will be on rotation at JLM HQ for some time to come.



If you’re looking for an instrumental hip-hop tip with tinges of A Tribe Called Quest, Erykah Badu, Mos Def, J Dilla, Slum Village, then you wont be disappointed. But, rather, you’ll be
refreshingly surprised as Eric Lau comes correct with his own unique style and methods. Yet again Eric manages to create music that has sincerity woven into it, with something so organic and
honest about it. It’s pretty rare to find hard hitting, laid back tracks with such pure instrumentation and structure, so you better savour it!

 






Tracklist :

01. What The World Should Be

02. Cruise control

03. Some Time

04. What's Going Down

05. Lil' Chop

06. Home Run

07. Ppg

08. Warp

09. Bendy

10. Dreamsville

11. Change

12. Give Light, Give Love

13. Militant

14. Minnie

15. Love, love, love

16. Watcha doin

17. Noma (Feat. Ben Hadwen)

18. The Bed

19. Nadir

20. Stand bye

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Daipivo - Reggae engatsé

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Origine du Groupe : France

Style : Reggae

Sortie : 1998




Site Officiel :



"DAÏPIVO" remplit de nombreuses salles durant la tournée de 1997, et prépare en même temps la sortie d'un deuxième album. Celui-ci sortira en 1998 et sera intitulé "Reggae Engatsé". Ce titre
correspond bien à la musique qu'il représente "Reggae Engagé, Enervé"... Cet album sera lui aussi autoproduit par le groupe... Scalen Distribution les découvre et signe la même année. Restant
prudent au départ avec ce groupe « méconnu » et ne distribuant que le deuxième album, Scalen s'aperçoit très rapidement du potentiel du groupe et de la demande en magasin. Il décide alors de
mettre en bac le premier album "Back to The Roots" qu'il jugeait au départ trop "local" et double alors les ventes. Le groupe s'impose alors dans le monde du reggae français avec plus de 10 000
disques vendus sans autres support promotionnel que leurs propres concerts... Plus tard, des articles de presses et interviews sont réalisés spontanément par des médias tels que Groove magazine,
Surf session, Lylo, Tendances positives, Presse Locale, Envoyé Spécial (France 2) , France 3, MCM, Radio Nova, Radio Golfe d'Amour, RCFM (Corse), Radio Grenouille, Radio Galère, etc... Le groupe
a aussi réussi à surmonter de nombreuses difficultés liées à ce "métier", leur passion pour la musique passant en priorité… Pendant ces années "galères", la totalité de leurs gains est réinvestie
: achat de matériels, instruments de musique, ainsi que tout ce qui concerne l'enregistrement des albums.

 






Tracklist :

01 - Clicasse

02 - Roots marseillais

03 - Euh'l'rapeul'

04 - La mort en vente

05 - Salska

06 - J.T agité

07 - Boom Boom Festival

08 - Les boues rouges

09 - Reggae engatsé

10 - Le temps des seigneurs

11 - Clicasse

12 - Etat d'urgence

13 - Le fric

14 - Fire / Dub P13

15 - La mort en vente (dub)

16 - Etat d'urgence (dub)

17 - Le temps des seigneurs (dub)

18 - J.T. agité (dub)

19 - Roots marseillais (dub)

mp3

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Lisa Ono - Asia

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRs1YyjJi_hmALH7NFmB8evBHoCiB6wrEabs-uxzozXPYyeQa0u7xzl2GAmdWMeGx-4WfXI0f7_nYEFKLTQxe8dTFtmO9xcc-FiAA-PEeZ-RpVx3q-tolOkOOfVXJ556zkxtnxNVcnvKQ/s1600/lisa+ono+asia.jpg

http://lisaono.homestead.com

http://www.myspace.com/jazzymuzzy

Origine du Groupe : Canada , Japan , Brazil

Style : Jazz

Sortie : 2010




Pour http://bossanovabrasil.fr



La chanteuse brésilienne Lisa Ono continue son tour du monde en bossa nova. Après Dans Mon Ile – recueil de chansons françaises, Dream – ballades jazz, Naima Meu Anjo – chansons africaines, et
Soul & Bossa – comme son nom l’indique, elle s’attaque cette fois-ci à sa région d’origine, l’Asie. Rappelons que Lisa, née à São Paulo de parents nissei, partage sa vie entre Rio et
Tokyo.



Cet album réunit une sélection de dix chansons asiatiques en provenance de Chine, de Malaisie, d’Indonésie, de Thaïlande, du Sri Lanka, de Corée, des Philipines et même de Mongolie, dont j’avoue
bien humblement tout ignorer des pratiques musicales. Certaines d’entre elles sont traitées en bossa, d’autres constituent de jolies ballades exotiques.



Du même coup, la Lisa Ono de cette année ressemble plus à Frances Yep qu’à Rosa Passos. Encore un peu plus easy listening que d’habitude, ce nouvel album de Lisa Ono ne sera pas mon préféré. J’en
retiens cependant Olu Pipila et Vande Mataram, deux jolies néo-bossas, et surtout Rosa Sayang, une chanson Malaisienne transformée en un forro charmant, dont je vous rappelle les paroles avant
que vous l’écoutiez :



Buah cempedak di luar pagar, ambil galah tolong jolokkan,

Saya budak baru belajar, kalau salah tolong tunjukkan.

 






Tracklist :

01.When Will You Come Again (03:50)

02.Olu Pipila (04:15)

03.Saichon (04:36)

04.Dahil Sa Iyo (03:34)

05.Rasa Sayang (03:22)

06.Evening Primrose (04:29)

07.Arirang (03:44)

08.Vande Mataram (04:43)

09.Bengawan Solo (04:14)

10.Buuvein Duu (04:39)

mp3

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Lisa Ono - Asia

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http://lisaono.homestead.com

http://www.myspace.com/jazzymuzzy

Origine du Groupe : Canada , Japan , Brazil

Style : Jazz

Sortie : 2010




Pour http://bossanovabrasil.fr



La chanteuse brésilienne Lisa Ono continue son tour du monde en bossa nova. Après Dans Mon Ile – recueil de chansons françaises, Dream – ballades jazz, Naima Meu Anjo – chansons africaines, et
Soul & Bossa – comme son nom l’indique, elle s’attaque cette fois-ci à sa région d’origine, l’Asie. Rappelons que Lisa, née à São Paulo de parents nissei, partage sa vie entre Rio et
Tokyo.



Cet album réunit une sélection de dix chansons asiatiques en provenance de Chine, de Malaisie, d’Indonésie, de Thaïlande, du Sri Lanka, de Corée, des Philipines et même de Mongolie, dont j’avoue
bien humblement tout ignorer des pratiques musicales. Certaines d’entre elles sont traitées en bossa, d’autres constituent de jolies ballades exotiques.



Du même coup, la Lisa Ono de cette année ressemble plus à Frances Yep qu’à Rosa Passos. Encore un peu plus easy listening que d’habitude, ce nouvel album de Lisa Ono ne sera pas mon préféré. J’en
retiens cependant Olu Pipila et Vande Mataram, deux jolies néo-bossas, et surtout Rosa Sayang, une chanson Malaisienne transformée en un forro charmant, dont je vous rappelle les paroles avant
que vous l’écoutiez :



Buah cempedak di luar pagar, ambil galah tolong jolokkan,

Saya budak baru belajar, kalau salah tolong tunjukkan.

 






Tracklist :

01.When Will You Come Again (03:50)

02.Olu Pipila (04:15)

03.Saichon (04:36)

04.Dahil Sa Iyo (03:34)

05.Rasa Sayang (03:22)

06.Evening Primrose (04:29)

07.Arirang (03:44)

08.Vande Mataram (04:43)

09.Bengawan Solo (04:14)

10.Buuvein Duu (04:39)

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2011年8月26日星期五

Otis Grove - The Runk

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http://www.otisgrove.net

http://www.myspace.com/otisgrove

Origine du Groupe : North America

Style : Funk Groove Rock , Instrumental , Alternative Rock

Sortie : 2010




By Kevin from http://indiesandtheunderground.blogspot.com



Remember crunk? That mix of booming 808 bass, drum machines, sinister samples and screamed, one-syllable chants that gave birth to countless strip club anthems ("Get Low" anyone?) and provided
the soundtrack to countless nightclub brawls? Which would account for about 80 percent of Lil Jon and the Eastside Boys' music. Well maybe not 80 percent. But at least 50 percent tops.



Well make way for runk, a mix of funk and rock birthed by Boston trio Otis Grove. Drawing on those genres as well as R&B, jazz and hip hop, the band comes up with some truly unique sounds.
Album opener "Monark," with its blistering, distorted riffs and maniacal organ, sounds like Metallica dropping in on a New Orleans church service, while the collision of twin guitar solos and
whirling, eerie synthesizers sound like a long lost Red Hot Chili Peppers track.



The laid back guitar licks and bright organs of "Uncle Runky" would feel right at home at a afternoon barbecue. "Waiting," crafts a seductive mix of minimalist licks and sharp drums before
surrendering midway to a monstrous groove of floor-shaking bass, fiery, frenetic guitar solos and a wailing wall of organ sound. Brash funk freakout, "Fausto" with its fuzzy distortion,
rubber-band bass, is another standout track.



Otis Grove are clearly talented musicians, able to both improvise and snap back into the melody at a moment's notice. Sam Gilman coaxes a endlessly array of sounds out of his organ, electronic
piano and mellotron, while guitarist Tyler Drabick and drummer Blake Goedde display enough versatility to keep with Gilman's experimentation. It would be interesting to hear what the band would
sound like with words and vocal melodies. But Otis Grove have provided more than enough ways for listeners to get runk.

 









Tracklist :

01 – Monark – 05:17

02 – The Bunk – 04:25

03 – Basket Case – 03:48

04 – Rock City – 04:09

05 – Bobby Nosox – 05:20

06 – Uncle Runky – 05:27

07 – Plywood Snowshoe – 05:11

08 – Waiting – 06:13

09 – I Won’t Forget – 05:21

10 – Fausto – 06:31

mp3

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Otis Grove - The Runk

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http://www.otisgrove.net

http://www.myspace.com/otisgrove

Origine du Groupe : North America

Style : Funk Groove Rock , Instrumental , Alternative Rock

Sortie : 2010




By Kevin from http://indiesandtheunderground.blogspot.com



Remember crunk? That mix of booming 808 bass, drum machines, sinister samples and screamed, one-syllable chants that gave birth to countless strip club anthems ("Get Low" anyone?) and provided
the soundtrack to countless nightclub brawls? Which would account for about 80 percent of Lil Jon and the Eastside Boys' music. Well maybe not 80 percent. But at least 50 percent tops.



Well make way for runk, a mix of funk and rock birthed by Boston trio Otis Grove. Drawing on those genres as well as R&B, jazz and hip hop, the band comes up with some truly unique sounds.
Album opener "Monark," with its blistering, distorted riffs and maniacal organ, sounds like Metallica dropping in on a New Orleans church service, while the collision of twin guitar solos and
whirling, eerie synthesizers sound like a long lost Red Hot Chili Peppers track.



The laid back guitar licks and bright organs of "Uncle Runky" would feel right at home at a afternoon barbecue. "Waiting," crafts a seductive mix of minimalist licks and sharp drums before
surrendering midway to a monstrous groove of floor-shaking bass, fiery, frenetic guitar solos and a wailing wall of organ sound. Brash funk freakout, "Fausto" with its fuzzy distortion,
rubber-band bass, is another standout track.



Otis Grove are clearly talented musicians, able to both improvise and snap back into the melody at a moment's notice. Sam Gilman coaxes a endlessly array of sounds out of his organ, electronic
piano and mellotron, while guitarist Tyler Drabick and drummer Blake Goedde display enough versatility to keep with Gilman's experimentation. It would be interesting to hear what the band would
sound like with words and vocal melodies. But Otis Grove have provided more than enough ways for listeners to get runk.

 









Tracklist :

01 – Monark – 05:17

02 – The Bunk – 04:25

03 – Basket Case – 03:48

04 – Rock City – 04:09

05 – Bobby Nosox – 05:20

06 – Uncle Runky – 05:27

07 – Plywood Snowshoe – 05:11

08 – Waiting – 06:13

09 – I Won’t Forget – 05:21

10 – Fausto – 06:31

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Karkwa - Les Chemins De Verre

http://www.renaud-bray.com/ImagesEditeurs/PG/1066/1066789-gf.jpg

http://www.karkwa.com

http://www.myspace.com/karkwa

Origine du Groupe : Canada

Style : Indie , Alternative

Sortie : 2010




By Galen Milne-Hines from http://monamibonhomie.blogspot.com



When the Polaris Music Prize announced its annual shortlist this year, there were at least a few things to note. First off, the appearance of two former winners of the still relatively new
Canadian music prize (Owen Pallett/Final Fantasy and Caribou) and some serious indie rock heavyweights like Broken Social Scene, The Sadies, and Tegan And Sara. Along with other Polaris familiars
Shad and The Besnard Lakes and newcomers to the nominations like Radio Radio and Dan Mangan, it would make this, as always, a very interesting and inevitable decision for the jury.



Sitting somewhere in this list of fairly familiar names, a band name appeared that myself and I'm pretty certain a whole lot of Polaris followers had never heard of: Karkwa. Before we knew it,
the end of September (and summer as we knew it) rolled around and the winner was announced. Karkwa, for their album Les Chemins De Verre! My first thought, of course, was just who exactly are
these mysterious artists? It'd take anyone about two lines of text to read as much as they'd need to figure it out but here, I'm happy to serve a proper introduction to an excellent band that
evidently could use a few more, so here goes.



By way of Montréal and the Francophone province of Canada known as Québec, a band has been using their 12 years together (!) to fine tune a very pronounced and interesting take on the indie rock
template so well studied throughout our country. Having already toured the world extensively, the band most definitely comes through loud and clear as something we probably all should've taken
notice of at least a few years ago. And it's not as if they haven't received significant praise already worldwide but seeing as their music is sung completely in French, it's just one of those
things that doesn't often make it to our ears when we live in a province that more often than not (and quite pathetically) dismisses, ignores or even scoffs at the idea of an official secondary
language.



Well, I implore you to see what happens after a few listens of Karkwa's brilliant Les Chemins De Verre. Even for people who won't be able to understand a damned word the guy is so enchantingly
singin' about, there's a certain charm to the subconscious or emotional interpretation of music that functions in that way. And once you start to revel in the album's sonic beauty, you'll see it
excels in such exercises. The melodies are plentiful, the vocal harmonies lush, the arrangements intuitive, I could go on. From it's eye-opening start to beautiful finish, Karkwa take the
listener on a windswept ride of remarkably solid songs, alternating between folkier studies in acoustic guitar and piano to rocketing, beat-heavy psych rock numbers, all in easy, quick-moving
succession.



Like I said, this album could serve as a music lesson in some of the best, most wholesome indie rock you can find out there but Karkwa don't go without stretching boundaries of what that
quantifies and keeping everything sounding fresh, much in the way what fellow Montrealers Plants And Animals accomplished in 2008 when their still underrated Parc Avenue was beat out for the
Polaris by Caribou's Andorra. This time, the French wins all, and rightly so. Good on ya, Polaris Music Prize guys. For everyone else, it's your turn to win -- find this album and give it a
whirl. It'll return the favor.

 









Tracklist :

01 Le Pyromane 4:09

02 L'Acouphene 3:39

03 Lger 3:09

04 Marie Tu Pleures 3:30

05 Le Bon Sens 3:30

06 Les Chemins De Verre 3:20

07 Dors Dans Mon Sang 4:45

08 La Piqure 5:02

09 Les Enfants De Beyrouth 3:48

10 Au-Dessus De La Tete De Lilijune 1:33

11 28 Jours 4:52

12 Le Vrai Bonheur 5:26

mp3

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Karkwa - Les Chemins De Verre

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http://www.karkwa.com

http://www.myspace.com/karkwa

Origine du Groupe : Canada

Style : Indie , Alternative

Sortie : 2010




By Galen Milne-Hines from http://monamibonhomie.blogspot.com



When the Polaris Music Prize announced its annual shortlist this year, there were at least a few things to note. First off, the appearance of two former winners of the still relatively new
Canadian music prize (Owen Pallett/Final Fantasy and Caribou) and some serious indie rock heavyweights like Broken Social Scene, The Sadies, and Tegan And Sara. Along with other Polaris familiars
Shad and The Besnard Lakes and newcomers to the nominations like Radio Radio and Dan Mangan, it would make this, as always, a very interesting and inevitable decision for the jury.



Sitting somewhere in this list of fairly familiar names, a band name appeared that myself and I'm pretty certain a whole lot of Polaris followers had never heard of: Karkwa. Before we knew it,
the end of September (and summer as we knew it) rolled around and the winner was announced. Karkwa, for their album Les Chemins De Verre! My first thought, of course, was just who exactly are
these mysterious artists? It'd take anyone about two lines of text to read as much as they'd need to figure it out but here, I'm happy to serve a proper introduction to an excellent band that
evidently could use a few more, so here goes.



By way of Montréal and the Francophone province of Canada known as Québec, a band has been using their 12 years together (!) to fine tune a very pronounced and interesting take on the indie rock
template so well studied throughout our country. Having already toured the world extensively, the band most definitely comes through loud and clear as something we probably all should've taken
notice of at least a few years ago. And it's not as if they haven't received significant praise already worldwide but seeing as their music is sung completely in French, it's just one of those
things that doesn't often make it to our ears when we live in a province that more often than not (and quite pathetically) dismisses, ignores or even scoffs at the idea of an official secondary
language.



Well, I implore you to see what happens after a few listens of Karkwa's brilliant Les Chemins De Verre. Even for people who won't be able to understand a damned word the guy is so enchantingly
singin' about, there's a certain charm to the subconscious or emotional interpretation of music that functions in that way. And once you start to revel in the album's sonic beauty, you'll see it
excels in such exercises. The melodies are plentiful, the vocal harmonies lush, the arrangements intuitive, I could go on. From it's eye-opening start to beautiful finish, Karkwa take the
listener on a windswept ride of remarkably solid songs, alternating between folkier studies in acoustic guitar and piano to rocketing, beat-heavy psych rock numbers, all in easy, quick-moving
succession.



Like I said, this album could serve as a music lesson in some of the best, most wholesome indie rock you can find out there but Karkwa don't go without stretching boundaries of what that
quantifies and keeping everything sounding fresh, much in the way what fellow Montrealers Plants And Animals accomplished in 2008 when their still underrated Parc Avenue was beat out for the
Polaris by Caribou's Andorra. This time, the French wins all, and rightly so. Good on ya, Polaris Music Prize guys. For everyone else, it's your turn to win -- find this album and give it a
whirl. It'll return the favor.

 









Tracklist :

01 Le Pyromane 4:09

02 L'Acouphene 3:39

03 Lger 3:09

04 Marie Tu Pleures 3:30

05 Le Bon Sens 3:30

06 Les Chemins De Verre 3:20

07 Dors Dans Mon Sang 4:45

08 La Piqure 5:02

09 Les Enfants De Beyrouth 3:48

10 Au-Dessus De La Tete De Lilijune 1:33

11 28 Jours 4:52

12 Le Vrai Bonheur 5:26

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Nancy Dupree - Ghetto reality

http://cdn2.greatsong.net/album/extra/nancy-dupree-ghetto-reality-103363289.jpg

http://www.lastfm.fr

Origine du Groupe : North America

Style : Soul

Sortie : 1969




From http://www.amazon.com



Nancy Dupree initially found her elementary school music students in Rochester, NY resistant to participation in class. Once she dropped the standard literature (which asked Mr. Bear to come and
play) and began composing music that bore relevancy to contemporary society and to their very tuned-in and grownup interests, she found they immediately took to performing. Her songs addressed,
for example, the contributions icons James Brown and Jelly Roll Morton (aka Docta King) made to society, the intangible assets each child naturally possessed (What do I have? Guts...heart...and
soul) and fighting for civil rights (I want my freedom; I want it now). Not only did singing about meaningful issues in real musical styles reveal the immense talents the students had, but it
gave all a critical lesson in empowerment.



Tracklist :

01. What do i have

02. James brown

03. Bag snatchin'

04. Docta king

05. Virgin mary

06. I want

07. Frankenstein

08. Cold

09. Jingle bells

10. Call baby jesus

mp3

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